Microsoft annonce un système de mise à jour automatique des pools de machines virtuelles
L'utilisation du cloud nous a apporté de grands avantages, mais en même temps, elle a causé de véritables maux de tête aux grandes entreprises afin d'offrir des normes de qualité minimales dans les services qu'elles fournissent. Que ce soit pour la sécurité, la fonctionnalité, la facilité d'utilisation... vivre et se servir du cloud demande un effort supplémentaire
Et c'est ce qu'ils font chez Microsoft lorsqu'il s'agit d'améliorer et de rationaliser la gestion des machines virtuelles connectées au cloud. Surtout, maintenant que la sécurité est remise en cause plus qu'elle ne serait souhaitable.Il s'agit d'éviter au maximum l'intervention humaine lors de la mise à jour des équipements
Azure by Microsoft, c'est la volonté et le résultat de l'engagement des Redmondiens dans le cloud. Un moyen d'avoir les infrastructures dont le marché a besoin de manière flexible, qu'il s'agisse de serveurs physiques, de réseaux, de machines virtuelles, de plates-formes de développement, de stockage... et donc des ensembles de mise à l'échelle de machines virtuelles sont arrivés, qui sont une ressource Azure Compute qui fait quepeut être utilisé pour déployer et gérer un ensemble de machines virtuelles identiques
Et avec cette nouvelle avancée de Microsoft, elle cherche à empêcher qu'une version d'un système d'exploitation soit mise à jour avec les correctifs nécessaires Pour faire face aux menaces et corriger les erreurs, l'être humain doit intervenir.
La mise à jour manuelle de centaines à des milliers de machines virtuelles peut devenir une histoire avec la solution que Microsoft a ajoutée à son programme Preview.Une amélioration qui permet une mise à jour automatique des images du système d'exploitation pour les machines virtuelles de manière plus efficace. Cela permet de gagner du temps et de réduire considérablement les coûts économiques
Cela appliquera automatiquement la dernière image du système d'exploitation à l'ensemble des machines virtuelles. En ce sens, Microsoft prendra initialement en charge les ordinateurs basés sur Windows Server 2016 Datacenter, Windows Server 2012 Datacenter R2 et Ubuntu Server 16.04-LTS
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