Bing

La France modifie le plan de WhatsApp et lui ordonne de cesser de partager des données avec Facebook

Anonim

L'une des polémiques les plus notoires de ces derniers temps est celle qui fait référence à WhatsApp et au fait de partager les données de ses utilisateurs avec Facebook, l'entreprise à laquelle elle appartient. La méfiance envers le réseau social et l'utilisation qu'il peut faire de nos données vient de loin, alors l'adoption par WhatsApp de cette façon de procéder a fait sonner l'alarme.

En premier lieu, les utilisateurs au niveau individuel dans de nombreux cas, n'ont pas vu cette pratique d'un bon œil, un fait qui a réussi à Dans de nombreux cas, leurs représentants politiques finissent par élever la voix de la même manière à travers les instances compétentes.Nous l'avons vu à un niveau supranational (dans le cas de l'UE) dans des pays comme l'Allemagne et l'Espagne et maintenant c'est au tour de la France.

"

Le pays voisin amende le plan à WhatsApp et donc à Facebook via un organisme comme la Commission Nationale de l&39;Informatique et des Libertés (CNIL) qui en espagnol est la Commission Nationale de l&39;Informatique et des Libertés. Depuis le pays voisin et par l&39;intermédiaire de cet organisme demande à l&39;entreprise de cesser sa politique de partage de données avec sa maison mère, Facebook "

"

L&39;agence affirme que ce mode de collecte des données des clients de la messagerie viole les libertés fondamentales des utilisateurs et a donné à l&39;entreprise un mois pour cesser son activité."

La polémique vient de loin, puisque WhatsApp a mis à jour ses conditions d'utilisation pour ajouter une clause qui vous permet de partager les données de votre les utilisateurs de Facebook, qu'ils aient ou non un compte sur le réseau social dans le but d'améliorer l'orientation et la personnalisation.

Facebook est donc à nouveau sous le feu des projecteurs de l'actualité, il suffit de rappeler que cette année l'Union européenne a condamné Facebook à une amende plus de 110 millions d'euros pour avoir fourni des informations erronées ou trompeuses lors de l'enquête sur le rachat de WhatsApp" menée par Bruxelles en 2014. Une sanction à laquelle s'ajoute celle prononcée en septembre 2017 en Espagne par l'Agence espagnole de protection des données (AEPD ), qui a sanctionné l'entreprise de Mark Zuckerberg de 1,2 million d'euros pour violation de la réglementation sur la protection des données.

Bing

Le choix des éditeurs

Back to top button